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venerdì 13 luglio 2012
marco cedolin: E se la Francia rinunciasse al TAV?
marco cedolin: E se la Francia rinunciasse al TAV?: Marco Cedolin Stanno tenendo banco in queste ore le dichiarazioni del ministro del bilancio francese Jerome Cahuzac, comparse sul quot...
lo stato francese rinuncia a 10 progetti tgv tra cui lione torino
L'État va renoncer à des projets de lignes TGV
Dix projets seront réexaminés. Les liaisons Lyon-Turin, Nice-Marseille et Rennes-Brest sont sur la sellette.
Après le temps des promesses, celui des réalités. Le ministre du Budget,Jérôme Cahuzac, a dit mercredi tout haut ce que les experts répètent à mi-voix depuis quelques mois au sujet des nouvelles lignes TGV: «L'État a prévu une multitude de projets sans avoir le début du commencement du moindre financement (…). Le gouvernement n'aura pas d'autre choix que de renoncer à certaines options.»
Dans l'euphorie du Grenelle de l'environnement qui s'est tenu en 2007, les pouvoirs publics avaient envisagé d'ici à 2020 la construction de 14 lignes à grande vitesse, soit 2000 km. Un programme de 260 milliards d'investissement. Mais, en période de disette budgétaire, la France n'a plus les moyens de se payer autant d'infrastructures. Le gouvernement va donc devoir choisir les lignes auxquelles il renonce. Une mission composée de parlementaires et d'experts sera nommée prochainement pour classer les projets par ordre de priorité. Elle devrait rendre sa copie d'ici à la fin de l'année.
Seule certitude, «les deux lignes en construction Tours-Bordeaux et Metz-Nancy, et les deux projets qui font l'objet d'un contrat signé, Le Mans-Rennes et le contournement Nîmes-Montpellier, ne seront pas remis en cause», souligne-t-on au ministère des Transports.
En revanche, les lignes qui coûtent cher sans réduire significativement les temps de transport risquent d'être condamnées, comme le laissait entendre Jérôme Cahuzac. Tout comme celles dont les prévisions de trafic ne sont pas exponentielles et où il sera difficile de faire payer les billets assez cher.
À cette aune, Nice-Marseille figure en tête au hit-parade des lignes menacées. «Le projet de l'ordre de 15 milliards d'euros est très cher, glisse un expert. Il n'y a pas de consensus sur le tracé et cela ne réduirait pas suffisamment la durée de trajet Paris-Nice pour gagner des parts de marché sur l'avion.» Autre ligne dans le viseur: Lyon-Turin. Son coût (12 milliards d'euros) est de nature à la disqualifier. De plus, la baisse du fret tombée à quatre millions de tonnes sur le trajet en 2011 contre onze millions de tonnes il y a près de vingt ans ne joue pas en faveur du projet.
Toutefois, quelques projets passeront à travers les gouttes. Ce devrait être le cas de la ligne TGV Bordeaux-Toulouse, qui mettra la Ville rose à 3 h 15 de Paris, contre plus de 5 heures aujourd'hui. «Le projet a du sens, car il permettra de faire l'aller-retour dans la journée en train», souligne un expert.
Autre liaison qui ne devrait pas être remise en cause, la ligne CDG Express qui permettra de rejoindre l'aéroport de Roissy en vingt minutes en partant de la gare de l'Est à Paris. Tout cela en investissant un milliard. «Le projet est finançable car on pourra vendre le ticket 20 euros», estime un spécialiste
Dans l'euphorie du Grenelle de l'environnement qui s'est tenu en 2007, les pouvoirs publics avaient envisagé d'ici à 2020 la construction de 14 lignes à grande vitesse, soit 2000 km. Un programme de 260 milliards d'investissement. Mais, en période de disette budgétaire, la France n'a plus les moyens de se payer autant d'infrastructures. Le gouvernement va donc devoir choisir les lignes auxquelles il renonce. Une mission composée de parlementaires et d'experts sera nommée prochainement pour classer les projets par ordre de priorité. Elle devrait rendre sa copie d'ici à la fin de l'année.
Seule certitude, «les deux lignes en construction Tours-Bordeaux et Metz-Nancy, et les deux projets qui font l'objet d'un contrat signé, Le Mans-Rennes et le contournement Nîmes-Montpellier, ne seront pas remis en cause», souligne-t-on au ministère des Transports.
En revanche, les lignes qui coûtent cher sans réduire significativement les temps de transport risquent d'être condamnées, comme le laissait entendre Jérôme Cahuzac. Tout comme celles dont les prévisions de trafic ne sont pas exponentielles et où il sera difficile de faire payer les billets assez cher.
À cette aune, Nice-Marseille figure en tête au hit-parade des lignes menacées. «Le projet de l'ordre de 15 milliards d'euros est très cher, glisse un expert. Il n'y a pas de consensus sur le tracé et cela ne réduirait pas suffisamment la durée de trajet Paris-Nice pour gagner des parts de marché sur l'avion.» Autre ligne dans le viseur: Lyon-Turin. Son coût (12 milliards d'euros) est de nature à la disqualifier. De plus, la baisse du fret tombée à quatre millions de tonnes sur le trajet en 2011 contre onze millions de tonnes il y a près de vingt ans ne joue pas en faveur du projet.
Confiance pour Toulouse
La branche est de la ligne TGV Rhin-Rhône risque également de ne jamais être terminée. Car les 50 km manquants entre Dijon et Mulhouse coûteraient environ un milliard d'euros. «Et cela ne réduirait le temps de trajet que de dix minutes», souligne un expert. Enfin, le prolongement de la ligne TGV Paris-Bordeaux jusqu'à l'Espagne a du plomb dans l'aile, car elle coûte plusieurs milliards et suscite une opposition dans le Pays basque. «L'idée pourrait être d'arrêter la ligne à Mont-de-Marsan ou à Dax», confie un spécialiste. Pour les mêmes raisons de coût, le prolongement de ligne TGV après Rennes vers Quimper et Brest ou les liaisons Poitiers-Limoges pourraient être sur la sellette. En fait, pour connaître le détail des lignes annulées, tout dépendra du volume des économies exigées par le gouvernement. Une donnée inconnue à ce jour.Toutefois, quelques projets passeront à travers les gouttes. Ce devrait être le cas de la ligne TGV Bordeaux-Toulouse, qui mettra la Ville rose à 3 h 15 de Paris, contre plus de 5 heures aujourd'hui. «Le projet a du sens, car il permettra de faire l'aller-retour dans la journée en train», souligne un expert.
Autre liaison qui ne devrait pas être remise en cause, la ligne CDG Express qui permettra de rejoindre l'aéroport de Roissy en vingt minutes en partant de la gare de l'Est à Paris. Tout cela en investissant un milliard. «Le projet est finançable car on pourra vendre le ticket 20 euros», estime un spécialiste
giovedì 5 luglio 2012
IL CORAGGIO DI CAMBIARE
Qualcosa di sinistra: le riforme di Hollande
"Riforma delle tasse di Hollande:
- eliminazione dello scudo fiscale per i piu ricchi (compravano il secondo appartamento e beneficiavano di uno sgravio);
- eliminazione delle ore supplementari defiscalizzate (chi dichiarava tutte le sue ore pagava di piu di quelli che furbamente se le facevano mettere come ore straordinarie);
- aumento delle tasse di un'aliquota di quasi il 10% per i ricchi;
- niente sgravi per chi ha i figli che studiano all'estero (i figli dei ricchi andavano a studiare in scuole private estere e beneficiavano di aiuti statali);
- aumento tasse per chi detiene proprietà in Francia e, cercando di pagare meno, chiede residenza all'estero (ma come godo!);
- tutta una serie di precisazioni e cavilli che per una volta tanto puniscono i veri furbetti;
Praticamente ha eliminato tutti i privilegi che il caro Sarko aveva dato agli amici ricchi. E prima di aumentare le tasse l'assemble nationale si è auto ridotta lo stipendio del 30 per cento! Bersani, mi senti? Leggi e impara cos'è la sinistra! E dopo ti pulisci la bocca dal nome di Hollande, e in seguito te ne vai affanculo! Che dire? Sono contenta di queste riforme, perché le trovo giuste e anch'io ne beneficerò. Mi spiace e mi si strappa il cuore vedere queste differenze con la mia cara Italia".
Daniela S., Parigi
Il Movimento 5 Stelle alla prova della democrazia liquida
Il Movimento 5 Stelle alla prova della democrazia liquida
Dalla protesta all’amministrazione delle città, il Movimento 5 stelle è alla ricerca di nuovi strumenti per aprirsi alla partecipazione dal basso. E, sull’esempio dei Pirati tedeschi, inizia a sperimentare il software Liquid Feedback – Credits: Fotogramma
Da Bergamo a Palermo i seguaci del comico genovese sperimentano Liquid Feedback, software online per prendere decisioni partecipate reso popolare dal Partito Pirata tedesco. In questo modo – sostengono - “uno vale uno”
- Tutte le news sul Movimento 5 Stelle
- Dal palco ai seggi: l'ascesa di Grillo
di Raffaele Mastrolonardo
In Italia sono stati i pionieri dell'uso della rete per la mobilitazione politica. Tanto che ilCorriere della sera, dati alla mano, ha azzardato un parallelo tra crescita della banda larga tricolore e successo del Movimento 5 Stelle (M5S). Come sede hanno un blog, quello di Beppe Grillo, come luogo principe (ma non esclusivo) di dibattito i Meet-up, e ora che siedono in vari consigli comunali, guidano città e si preparano a sbarcare inparlamento, i “grillini” sono pronti al prossimo salto politico-tecnologico: il ricorso a un sistema online che dovrebbe permettere non solo di elaborare proposte e discuterle in stile WikiPedia ma anche di deliberare in modo partecipato e rispettoso delle competenze individuali. Insomma, si tratterebbe di un balzo nella democrazia elettronica o "liquida”, come viene definito il modello di partecipazione a cui si ispira ilPartito Pirata tedesco che a livello locale sta conquistando i militanti dell'organizzazione fondata dal comico genovese.
Delega al migliore – Dalle parti di Bergamo, per esempio, le deliberazioni tecno-partecipate sono già realtà da qualche settimana. Per decidere la posizione del movimento in merito ad un'iniziativa contro la costruzione di un comprensorio sciistico in Alta Val Seriana, la sezione locale del M5S si è espressa attraversoLiquidFeedback, un software che permette di costruire proposte condivise, ma soprattutto di votarle garantendo che il processo sia orizzontale e valorizzi i saperi dei partecipanti. Sviluppato su impulso del Partito Pirata germanico e poi adottato dai militanti di altri paesi, LiquidFeedback sarà presto implementato, sempre in Germania, dal circondariato della Frisia per permettere ai cittadini di prendere decisioni su questioni locali. A Bergamo, i “grillini” lo usano per sciogliere nodi organizzativi come la gestione delle mailing list ma anche politici, come nel caso dell'impianto da sci o della partecipazione ad un dibattito alla festa del Pd. Ciò che piace agli aderenti del M5S è che il sistema permette di tenere insieme i vantaggi della democrazia diretta e di quella rappresentativa scivolando da una all'altra attraverso il procedimento della delega. “Con LiquidFeedback posso votare su ogni tema. Ma se non mi sento esperto su questioni sanitarie – spiega Andrea Ravasio, 40 anni, ingegnere elettronico e iscritto al M5S Bergamo - posso delegare il mio amico medico il cui voto, a quel punto, vale due”. Il meccanismo è, per definizione, liquido e non si ferma qui. “A sua volta il medico può delegare un altro che ritiene ancora più esperto e il suo voto in materia, a quel punto, varrà 3 e così via. Quella che si forma è una catena di competenze e di meritocrazia”. Alla fine la proposta migliore tra quelle sul piatto viene calcolata tramite un algoritmo basato sul cosiddetto metodo Schulze che fa la sintesi delle preferenze espresse, tenendo conto anche dei pareri negativi. Il tutto rigorosamente online, senza moderatori e in un processo paritario. “E' come essere in un'assemblea permanente e orizzontale”, dice Ravasio, convinto che il software sia lo strumento migliore per dare sostanza al principio “uno vale uno”, idea cardine e radicalmente egualitaria del movimento ma anche una delle più ardue da mettere in pratica. Lo dimostrano le polemiche sulla presunta interferenza di Grillo sulla mancata nomina di Valentino Tavolazzi a direttore generale del Comune di Parma e le perplessità sulla natura "proprietaria" del marchio "5 stelle" sancita dal non-statuto del movimento e recentemente stigmatizzata anche dal Partito Pirata teutonico.
Da nord a sud – A partire dal capoluogo lombardo l'idea della democrazia liquida abilitata da Internet si è diffusa nel movimento alla velocità del web. Appoggiandosi ai M5S di Bergamo, che hanno tradotto il programma dal tedesco e dall'inglese, prove del software “pirata”, che è aperto e gratuito, sono in corso a Rimini, Modena e Milano. In Sicilia se ne sta valutando l'adozione per l'elaborazione del programma del movimento in vista delle prossime elezioni regionali. “Fino ad ora usavamo i meet-up, che sono forum di discussione abbastanza articolati e aiutano molto. Ma a noi servono decisioni e dunque o ci vediamo di persona e votiamo per alzata di mano o utilizziamo un sistema online”, dice Alfonso Moscato, 32 anni, operatore turistico a Palermo e responsabile del gruppo di lavoro che sta testando il software sull'isola. “Il 22 luglio presenteremo la proposta all'assemblea regionale e vediamo cosa si decide”. Il sogno finale, quantomeno a Bergamo e dintorni, è quello di sperimentare LiquidFeedback nel rapporto tra iscritti ed eletti con i primi che potranno decidere sulle questioni e poi trasmettere il verdetto al loro rappresentante nell'istituzione. “E’ in vista di questo che lavoriamo", dice Ravasio. Altrove all'interno del non-partito di Grillo la curiosità su questo fronte è molta ma non mancano i dubbi. “Ci piacerebbe sperimentarlo anche se ritengo che vada meglio per processi decisionali più lenti, interni al M5S”, è il parere di Vittorio Bertola, capogruppo M5S al Consiglio comunale di Torino. “Spesso in Consiglio scopriamo le cose da un momento all'altro e per consultarci con la base abbiamo poco tempo”.
Politica nella rete – Il software non è poi esente da critiche anche sul piano dell'eguaglianza. Il sistema delle deleghe, è stato notato, permette comunque ad alcuni soggetti di avere di fatto un potere superiore a quello di altri membri. Nel frattempo, però, funziona e i pirati tedeschi, che nelle ultime elezioni localli hanno conquistato il 7 % dei voti, lo usano anche per elaborare proposte economiche alternative al capitalismo finanziario contemporaneo. Quanto al M5S il ricorso al programma sembra un'altra testimonianza che, almeno in periferia, il movimento continua a sperimentare quei modi nuovi di fare politica attraverso le tecnologie di cui ha recentemente scrittoJuan Carlos De Martin, direttore del Nexa Center del Politecnico di Torino. Internet cambia i paradigmi della partecipazione e – sottolinea De Martin - solleva la questione su come "strutturare un partito avendo a disposizione una tecnologia che consente, con bassi costi e grande intuitività, di mettere in contatto [...] militanti e dirigenti, eletti ed elettori, simpatizzanti”. Da Bergamo a Palermo gli esponenti del “5 stelle” sembrano consapevoli della sfida e dell'opportunità. I partiti tradizionali (e, chissà, forse anche Grillo stesso) sono avvertiti.
In Italia sono stati i pionieri dell'uso della rete per la mobilitazione politica. Tanto che ilCorriere della sera, dati alla mano, ha azzardato un parallelo tra crescita della banda larga tricolore e successo del Movimento 5 Stelle (M5S). Come sede hanno un blog, quello di Beppe Grillo, come luogo principe (ma non esclusivo) di dibattito i Meet-up, e ora che siedono in vari consigli comunali, guidano città e si preparano a sbarcare inparlamento, i “grillini” sono pronti al prossimo salto politico-tecnologico: il ricorso a un sistema online che dovrebbe permettere non solo di elaborare proposte e discuterle in stile WikiPedia ma anche di deliberare in modo partecipato e rispettoso delle competenze individuali. Insomma, si tratterebbe di un balzo nella democrazia elettronica o "liquida”, come viene definito il modello di partecipazione a cui si ispira ilPartito Pirata tedesco che a livello locale sta conquistando i militanti dell'organizzazione fondata dal comico genovese.
Delega al migliore – Dalle parti di Bergamo, per esempio, le deliberazioni tecno-partecipate sono già realtà da qualche settimana. Per decidere la posizione del movimento in merito ad un'iniziativa contro la costruzione di un comprensorio sciistico in Alta Val Seriana, la sezione locale del M5S si è espressa attraversoLiquidFeedback, un software che permette di costruire proposte condivise, ma soprattutto di votarle garantendo che il processo sia orizzontale e valorizzi i saperi dei partecipanti. Sviluppato su impulso del Partito Pirata germanico e poi adottato dai militanti di altri paesi, LiquidFeedback sarà presto implementato, sempre in Germania, dal circondariato della Frisia per permettere ai cittadini di prendere decisioni su questioni locali. A Bergamo, i “grillini” lo usano per sciogliere nodi organizzativi come la gestione delle mailing list ma anche politici, come nel caso dell'impianto da sci o della partecipazione ad un dibattito alla festa del Pd. Ciò che piace agli aderenti del M5S è che il sistema permette di tenere insieme i vantaggi della democrazia diretta e di quella rappresentativa scivolando da una all'altra attraverso il procedimento della delega. “Con LiquidFeedback posso votare su ogni tema. Ma se non mi sento esperto su questioni sanitarie – spiega Andrea Ravasio, 40 anni, ingegnere elettronico e iscritto al M5S Bergamo - posso delegare il mio amico medico il cui voto, a quel punto, vale due”. Il meccanismo è, per definizione, liquido e non si ferma qui. “A sua volta il medico può delegare un altro che ritiene ancora più esperto e il suo voto in materia, a quel punto, varrà 3 e così via. Quella che si forma è una catena di competenze e di meritocrazia”. Alla fine la proposta migliore tra quelle sul piatto viene calcolata tramite un algoritmo basato sul cosiddetto metodo Schulze che fa la sintesi delle preferenze espresse, tenendo conto anche dei pareri negativi. Il tutto rigorosamente online, senza moderatori e in un processo paritario. “E' come essere in un'assemblea permanente e orizzontale”, dice Ravasio, convinto che il software sia lo strumento migliore per dare sostanza al principio “uno vale uno”, idea cardine e radicalmente egualitaria del movimento ma anche una delle più ardue da mettere in pratica. Lo dimostrano le polemiche sulla presunta interferenza di Grillo sulla mancata nomina di Valentino Tavolazzi a direttore generale del Comune di Parma e le perplessità sulla natura "proprietaria" del marchio "5 stelle" sancita dal non-statuto del movimento e recentemente stigmatizzata anche dal Partito Pirata teutonico.
Da nord a sud – A partire dal capoluogo lombardo l'idea della democrazia liquida abilitata da Internet si è diffusa nel movimento alla velocità del web. Appoggiandosi ai M5S di Bergamo, che hanno tradotto il programma dal tedesco e dall'inglese, prove del software “pirata”, che è aperto e gratuito, sono in corso a Rimini, Modena e Milano. In Sicilia se ne sta valutando l'adozione per l'elaborazione del programma del movimento in vista delle prossime elezioni regionali. “Fino ad ora usavamo i meet-up, che sono forum di discussione abbastanza articolati e aiutano molto. Ma a noi servono decisioni e dunque o ci vediamo di persona e votiamo per alzata di mano o utilizziamo un sistema online”, dice Alfonso Moscato, 32 anni, operatore turistico a Palermo e responsabile del gruppo di lavoro che sta testando il software sull'isola. “Il 22 luglio presenteremo la proposta all'assemblea regionale e vediamo cosa si decide”. Il sogno finale, quantomeno a Bergamo e dintorni, è quello di sperimentare LiquidFeedback nel rapporto tra iscritti ed eletti con i primi che potranno decidere sulle questioni e poi trasmettere il verdetto al loro rappresentante nell'istituzione. “E’ in vista di questo che lavoriamo", dice Ravasio. Altrove all'interno del non-partito di Grillo la curiosità su questo fronte è molta ma non mancano i dubbi. “Ci piacerebbe sperimentarlo anche se ritengo che vada meglio per processi decisionali più lenti, interni al M5S”, è il parere di Vittorio Bertola, capogruppo M5S al Consiglio comunale di Torino. “Spesso in Consiglio scopriamo le cose da un momento all'altro e per consultarci con la base abbiamo poco tempo”.
Politica nella rete – Il software non è poi esente da critiche anche sul piano dell'eguaglianza. Il sistema delle deleghe, è stato notato, permette comunque ad alcuni soggetti di avere di fatto un potere superiore a quello di altri membri. Nel frattempo, però, funziona e i pirati tedeschi, che nelle ultime elezioni localli hanno conquistato il 7 % dei voti, lo usano anche per elaborare proposte economiche alternative al capitalismo finanziario contemporaneo. Quanto al M5S il ricorso al programma sembra un'altra testimonianza che, almeno in periferia, il movimento continua a sperimentare quei modi nuovi di fare politica attraverso le tecnologie di cui ha recentemente scrittoJuan Carlos De Martin, direttore del Nexa Center del Politecnico di Torino. Internet cambia i paradigmi della partecipazione e – sottolinea De Martin - solleva la questione su come "strutturare un partito avendo a disposizione una tecnologia che consente, con bassi costi e grande intuitività, di mettere in contatto [...] militanti e dirigenti, eletti ed elettori, simpatizzanti”. Da Bergamo a Palermo gli esponenti del “5 stelle” sembrano consapevoli della sfida e dell'opportunità. I partiti tradizionali (e, chissà, forse anche Grillo stesso) sono avvertiti.
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